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Message  Invité 15/06/09, 07:41 am

Actualité du 06/06/2009 au 12/06/2009
Sélection de dépêches proposée par le Crips Ile-de-France

11/06/2009 Précarité et VIH
http://femmesida.veille.inist.fr/spip.php?article1049
La précarité et l’absence de domicile sont associées à des risques comportementaux, sociaux et environnementaux qui exposent les personnes à de nombreuses pathologies et notamment à des maladies transmissibles comme le VIH et les hépatites. Les pathologies associées à la précarité et à l’absence de domicile fixe constituent donc un problème de santé publique d’importance croissante. La précarité se définit comme l’absence d’une ou plusieurs des sécurités permettant aux personnes d’assumer leurs obligations professionnelles, familiales et sociales, et de jouir de leurs droits fondamentaux. L’absence de sécurité et de droits sociaux réduit le droit à la santé et l’accès aux soins. Les sans domicile, groupe hyper vulnérable au sein du groupe des personnes en situation de précarité, regroupent ceux qui n’ont pas d’abri et ceux qui ont un abri qui ne satisfait pas aux critères de base de la santé et de la sécurité, tels que l’accès à l’eau, la sécurité et la protection contre les éléments naturels. Il s’agit majoritairement d’enfants et d’adolescents, de femmes se prostituant et de personnes atteintes de pathologies psychiatriques. La précarité et le nombre de personnes sans domicile fixe augmentent régulièrement, partout dans le monde, en même temps que la pauvreté. En France, fin 2006, 13 % de la population vivait en dessous du seuil de pauvreté. Le nombre de sans domiciles est estimé à 100 000 et celui de personnes vivant dans des logements précaires à 493 000 en 2008. Les conditions de vie des personnes sans domicile les exposent plus particulièrement aux maladies transmissibles, qui peuvent alors se répandre de façon épidémique et poser des problèmes aigus de santé publique. Partout dans le monde, les prévalences d’un certain nombre de maladies infectieuses sont particulièrement élevées dans cette population : - 6 à 35 % pour le VIH, - 17 à 30 % pour l’hépatite B, - 12 à 30 % pour l’hépatite C, - 1,2 à 6,8 % pour la tuberculose. La prévalence élevée du VIH, des hépatites et des infections sexuellement transmissibles (IST),témoigne de la fréquence de consommation de drogues injectables et d’adoption de comportements sexuels à risque parmi les personnes de la rue ou celles en situation de précarité. Leurs conditions de vie, notamment pour celles qui fréquentent les refuges ou centres d’accueil, souvent bondés, expliquent la prévalence élevée des maladies à transmission respiratoire telles que la tuberculose.(...)
http://femmesida.veille.inist.fr/spip.php?article1049


11/06/2009 La France et l'Italie accusées de revenir sur leurs promesses d'aide à l'Afrique
http://www.lemonde.fr
La France et l'Italie ne respectent pas leurs engagements pris en 2005 lors du sommet du G8 de Gleneagles en matière d'aide financière à l'Afrique, selon l'ONG ONE, du chanteur Bono. Elles menacent de réduire à néant les progrès réalisés grâce aux efforts de leurs partenaires. L'organisation présente jeudi 11 juin, à la veille de la réunion des ministres des finances du G8 en Italie, son rapport annuel "Data 2009" qui fait un bilan sur les aides financières des pays les plus riches en Afrique. "L'Italie et la France ont des résultats si mauvais [en matière d'aide financière] qu'ils menacent d'entraîner l'échec de l'ensemble du G8" vis-à-vis de l'Afrique, indique l'ONG. En 2005, le G8 (Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Italie, Japon, Russie) s'est engagé à augmenter de plus de 26 milliards de dollars son aide à l'Afrique d'ici à 2010. Après plusieurs révisions à la baisse, le chiffre a été ramené à 21,8 milliards. Or, ils "n'ont fourni qu'un tiers de l'aide supplémentaire promise" alors que les deux tiers de la période se sont écoulés, indique ONE, estimant qu'à fin 2009, environ la moitié seulement de l'aide supplémentaire aura été versée. "La France et l'Italie sont responsables de 80 % des fonds manquants", a-t-elle relevé. "Les financements réalisés jusqu'à présent ont eu des conséquences très importantes en Afrique", pointe le rapport, citant notamment "34 millions d'enfants scolarisés en plus, environ 3 millions de personnes recevant des traitements médicaux salvateurs contre le sida et un taux de mortalité dû au paludisme réduit de plus de moitié au Rwanda, en, Ethiopie et en Zambie".
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2009/06/11/la-france-et-l-italie-accusees-de-revenir-sur-leurs-promesses-d-aide-a-l-afrique_1205398_3212.html


10/06/2009 Don du sang: 76% des Français trouvent l'interdiction «injustifiée»
http://www.tetu.com
D'après un sondage BVA, l'opinion des Français va à l'encontre des prises de positions du ministère de la Santé: seuls 17% trouvent l'interdiction des dons de sang par les gays «justifiée». Les résultats du sondage de l'institut BVA sont sans appel. A la question «Les personnes homosexuelles ne sont pas autorisées à donner leur sang. Trouvez-vous cela justifié ou pas justifié?», 76% répondent «pas justifié» et seulement 17% «justifié». Des positions qui vont à l'encontre des décisions du ministère de la Santé et de l'avis de l'Etablissement français du sang (EFS), qui estime que la prévalence du VIH dans la population gay constitue encore trop de risque pour la sécurité des dons (lire notre article). «Les gays ne se sont jamais bougés pour faire avancer les choses». Ce sondage, réalisé par les 5 et 6 juin par téléphone auprès d'un échantillon de 1.009 personnes, arrive dans des conditions exceptionnelles: c'est un particulier, et non un grand média, qui l'a fait réaliser par l'institut BVA.
http://www.tetu.com/actualites/sante/don-du-sang-76-des-francais-trouvent-linterdiction-injustifiee-14863


Dernière édition par maya le 23/06/09, 05:44 pm, édité 2 fois (Raison : rajout infos)

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Message  Invité 19/06/09, 03:15 pm

19/06/2009 Expo : 20 ans d'affiches contre le sida
http://v2.e-llico.com
A l'occasion de la Marche des Fiertés LGBT, Act Up-Paris expose 20 ans d'affiches et de visuels contre le sida. 20 ans après la première apparition d'Act Up-Paris à la Gay Pride le 26 juin 1989, l'association s'affiche à travers une exposition évolutive et itinérante. Première escale aux Souffleurs, du 18 juin au 2 juillet. Présente dans ce bar mixte et convivial du Marais, l'exposition s'enrichira petit à petit de visuels de la Marche des Fiertés 2009 et d'autres supports multimédias, avant de s'installer dans un nouveau lieu au cours de l'été. Les Souffleurs - 7, rue de la Verrerie - 75004 Paris.
http://v2.e-llico.com/actu-19986-expo--20-ans-daffiches-contre-le-sida.htm

19/06/2009 Impact ambivalent des grands fonds (sida, palu) sur les systèmes de santé
http://www.romandie.com
Les initiatives mondiales autour de maladies particulières -tuberculose, sida, paludisme- ont bénéficié aux systèmes de santé des pays concernés, mais leur impact est parfois compromis par des sous-investissements chroniques des pays en développement dans la santé. Une étude, conduite sous l'égide de l'Organisation mondiale de la santé et publiée vendredi par la revue britannique The Lancet, fait la synthèse de quelque 220 articles déjà publiés ou non sur le sujet, y ajoutant une quinzaine d'études inédites. L'apparition depuis une dizaine d'années d'initiatives mondiales pour la santé (IMS) --comme le Fonds global de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, le Plan d'urgence du président américain de lutte contre le sida (Pepfar), l'Alliance mondiale pour les vaccins (Gavi), le programme sida de la Banque mondiale-- a entraîné une multiplication des interventions "dont ont bénéficié des millions de personnes", souligne l'étude. "Cela a eu des effets-leviers non seulement sur la maladie spécifique, mais sur d'autres et sur les systèmes de santé", résume Jean-Paul Moatti, professeur d'économie, qui a participé à l'étude pour l'Agence française de recherche sur le sida (ANRS). Ainsi, par exemple au Malawi, en Tanzanie, au Botswana et au Lesotho, les programmes d'anti-rétroviraux ont eu des effets "sur la réduction de la mortalité adulte, toutes causes confondues", dit-il. Cependant "si on n'y prend pas garde ça peut avoir aussi des effets négatifs", note M. Moatti. Il souligne ainsi que si dans certains pays les ressources économisées par l'arrivée des programmes internationaux ont été "réinvesties dans le système", dans d'autres comme l'Ethiopie "les dépenses de santé nationales ont baissé". Parfois, dit le rapport, les IMS "ont été associées à une aggravation des déséquilibres des effectifs de santé entre zones urbaines et zones rurales, et à une fuite des personnels soignants du secteur public vers des projets financés par les IMS". Selon M. Moatti, le Fonds mondial et le Pepfar ont "commencé à corriger" ces effets négatifs par une politique salariale qui n'incite pas à quitter le système de santé national. Une autre étude, réalisée par des chercheurs de l'université de Washington et publiée par the Lancet, montre que les financements pour la santé dans les pays en développement ont quadruplé au cours des 20 dernières années, sans profiter forcément aux pays les plus pauvres. Ainsi certains pays d'Afrique reçoivent moins d'aide que des pays d'Amérique du sud moins accablés par la maladie. Le Mali et la Colombie ont des problèmes de santé de même niveau- mais le Mali reçoit trois fois moins d'aide. Le sida bénéficie de 23% de l'aide mondiale -trois fois plus que la tuberculose et le paludisme, deux maladies dont le poids conjugué est plus important que celui du sida.
http://www.romandie.com/infos/news2/090618230104.8h3roscf.asp

18/06/2009 L'ONU appelle à cesser les discriminations homophobes pour mieux lutter contre le Sida
http://citegay.fr
Le Secrétaire général de l'ONU et le directeur d'ONUSIDA ont visé les pays qui pénalisent l'homosexualité et ceux qui restreignent la circulation et d'installation des séropos... Ban Ki-moon et Michel Sidibé ont condamné lors d'une séance de l'Assemblée générale sur le thème de «l'Accès universel et les droits de l'homme» les discriminations qui entravent les soins aux malades du sida, en particulier les 80 pays de l'Assemblée générale qui ont encore des lois criminalisant l'homosexualité. «Bien que je sois très encouragé par les progrès et le soutien de la communauté internationale dans le traitement du VIH/sida, il nous faut lutter contre les préjudices, la discrimination et la stigmatisation» a indiqué Ban Ki-moon assurant s'être «efforcé de promouvoir l'intégration des malades du sida dans leurs sociétés ; ces efforts vont se poursuivre». Michel Sidibé, premier directeur exécutif d'ONUSIDA originaire d'Afrique subsaharienne, a salué la volonté du secrétaire général de «briser la conspiration du silence qui touche la discrimination et même la criminalisation des gens qui sont atteints par le sida, notamment les groupes vulnérables : hommes qui ont des relations sexuelles avec des hommes, transsexuels et lesbiennes, travailleurs sexuels et consommateurs de drogues» alors que l'objectif de l'accès universel aux médicaments pour 2010 avec la crise économique et les carences et défaillances de grands pays occidentaux, dont la France, ne devraient pas être atteints. «Quatre-vingt pays ont des lois contre l'homosexualité», a dénoncé Michel Sidibé, cette pénalisation empêchant les actions ciblées auprès de ces populations fragilisées. Egalement, 59 pays ont encore des lois qui restreignent l'entrée, le séjour ou la résidence des personnes atteintes du sida. Particulièrement, les USA restreignent toujours l'accès à son territoire aux séropositifs malgré les engagements de Georges Bush et la nouvelle administration considérée comme plus progressiste. Sur ce sujet, l'International AIDS Society qui organise les grandes conférences mondiales contre le VIH, a indiqué qu'elle était prête à tenir son évènement en 2012 aux USA à la seule condition que toute restriction soit levée.
http://citegay.fr/00/00/254833/content_visu.htm

18/06/2009 Associations : la Cour des comptes satisfaite de la gestion de Sidaction
http://v2.e-llico.com
La Cour des comptes s'est dite mercredi "globalement satisfaite" de la gestion de l'association Sidaction, qu'elle juge plus professionnelle et plus vigilante qu'il y a quelques années sur l'utilisation des dons. "Le donateur devrait l'être aussi", a déclaré le président de la 5ème chambre, Jean-Pierre Bayle, lors d'une conférence de presse. La Cour note que les dons sont désormais attribués par "des comités d'experts" soumis "à des règles déontologiques strictes" alors que l'association avait été épinglée en 2000 pour "insuffisances dans les procédures de sélection et d'attribution des fonds". Toutefois, si "les frais de fonctionnement et de structure apparaissent comme correctement maîtrisés", "les coûts directs d'appel à la générosité publique connaissent (...) une croissance significative qui mérite une attention vigilante".
http://v2.e-llico.com/actu-19973-associations--la-cour-des-comptes-satisfaite-de-la-gestion-de-sidaction.htm
sida_1208375_3234.html


17/06/2009 Le Secrétaire général des Nations Unies et les responsables de la Campagne mondiale contre le sida et de l’ONUSIDA annoncent le thème de la prochaine Journée mondiale sida ‘Accès universel et droits de la personne’
http://data.unaids.org
En anticipation de la Journée mondiale sida de cette année, M. Ban Ki-moon, Secrétaire général des Nations Unies, et les responsables de la Campagne mondiale contre le sida et du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) se sont réunis pour en annoncer le thème : ‘Accès universel et droits de la personne’. Ce thème a été choisi car il est fondamentalement nécessaire de protéger les droits de la personne et de réaliser un accès pour tous aux services de prévention, de traitement, de soins et d’appui en rapport avec le VIH. Il permet aussi d’appeler les pays à supprimer les lois qui engendrent de la discrimination à l’encontre des personnes vivant avec le VIH, des femmes et des groupes marginalisés. Les pays sont aussi instamment invités à accomplir les nombreux engagements qu’ils ont pris - dans le cadre de la Déclaration d’engagement sur le VIH/sida de 2001 et de la Déclaration politique sur le VIH/sida de 2006 - de protéger les droits de la personne.
http://data.unaids.org/pub/PressRelease/2009/20090616_pressrelease_wac_fr.pdf


16/06/2009 Sept ans après, la Journée Esther : des missions élargies au-delà du VIH
http://www.quotimed.com
Sept ans après sa création par Bernard Kouchner, le GIP ESTHER (Ensemble pour une solidarité thérapeutique hospitalière en réseau) est devenu le seul outil bilatéral de coopération française dans le domaine de la santé. Mais les moyens manquent toujours alors qu’un élargissement de ses missions au-delà du sida et des maladies associées est à l’ordre du jour. « APRÈS sept années d’existence au cours desquelles le GIP ESTHER a démontré sa capacité à mettre en œuvre des programmes efficaces pour développer l’accès aux soins, le traitement et la prise en charge globale des personnes vivant avec le VIH/sida dans les pays à ressources limitées, se pose aujourd’hui la question de la suite », explique le Pr Gilles Brücker, qui dirige le GIP depuis deux ans. Créé en 2002 par Bernard Kouchner sur le principe original de jumelages hospitaliers mais aussi associatifs entre équipes du Nord et du Sud, le GIP est aujourd’hui présent dans 18 pays et mobilise 70 équipes dans 52 hôpitaux du Nord. Un succès, comme en a témoigné le Pr Anne-Marie Taburet, responsable du laboratoire de pharmacologie à l’hôpital Bicêtre (région parisienne), qui participe au programme mis en place avec l’hôpital Calmette au Cambodge. « Depuis le début du jumelage en 2003, 1?100 patients sont sous ARV avec un taux de réponse supérieur à 80 % », souligne-t-elle. Dans ce pays qui compte 60?000 patients infectés par le VIH, 30?000 patients bénéficient d’un traitement, sur les 33?000 qui en ont besoin. En plus des consultations VIH, le GIP assure un programme de prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant (PTME) et la formation d’infirmiers et de médecins. « Dans un contexte de diminution des ressources, comment assurer la pérennité des programmes », s’inquiète la pharmacologue.
http://www.quotimed.com/recherche/index.cfm?fuseaction=viewArticle&DArtIdx=427284

15/06/2009 Transmission du VIH : des experts s'interrogent
http://qc.news.yahoo.com
Le nombre grandissant d'accusations criminelles pour avoir transmis le virus du sida préoccupent les quelque 160 chercheurs, avocats et activistes communautaires participants à un symposium sur le VIH et les droits de la personne à Toronto. Rappelons qu'en avril dernier, un premier Canadien a été reconnu coupable de meurtre prémédité pour avoir transmis le virus du sida, dont il se savait atteint depuis 1996, à des femmes avec qui il a eu des relations sexuelles non protégées. Selon des conférenciers, la criminalisation décourage les gens à passer le test de dépistage et entraîne un repli de ceux qui sont déjà porteurs du virus. Christian Desrosiers, avocat criminaliste, dénonce les ambiguïtés du Code criminel canadien dans le cas d'un porteur du virus qui ne prévient pas son partenaire, mais utilise un préservatif. « Il y a des jugements qui vont dans tous les sens. Il y en a qui disent : "Oui, mais justement, le condom peut briser, etc., et il faut vraiment informer l'autre". Il y a d'autres qui disent : "Non, la Cour suprême a été claire", affirme M. Desrosiers. De son côté, le sénateur Pierre-Claude Nolin estime que le débat ne doit pas faire oublier que les autorités ont quelque peu relâché leur effort de sensibilisation. « Criminaliser, c'est très facile. Prévenir, c'est très complexe. C'est là que doit s'articuler la responsabilité de l'État », dit-il.
http://qc.news.yahoo.com/s/13062009/3/regional-transmission-du-vih-des-experts-s-interrogent.html

15/06/2009 Sida : l'industrie US du porno en accusation
http://www.leparisien.fr
Tandis que producteurs et acteurs sont réunis à Los Angeles pour les trois jours du salon Erotica, l'industrie pornographique américaine est mise en accusation par des autorités sanitaires, qui l'accusent d'exposer ses "stars" au virus du Sida, selon le "New York Times". Le quotidien local, le "Los Angeles Times", avait révélé jeudi qu'une actrice X avait subi un test positif dans une clinique californienne fondée par une de ses anciennes consoeurs. Testé HIV positive le 4 juin, la jeune actrice avait néanmoins participé à un tournage le lendemain, avant de subir un nouveau test le 6 juin confirmant sa séropositivité. Ses partenaires masculins ont été testés négatifs, quoique la séropositivité soit parfois détectée au bout d'une semaine ou plus. A la suite de ces révélations, des officiels de l'administration de la Santé en Californie ont ouvert une enquête afin de savoir quels étaient les acteurs et la production concernés. Ils ont révélé que l'usage du préservatif, légalement obligatoire, n'était pas toujours respecté. Les services de la santé californien ont ainsi précisé que 22 acteurs ou actrices avaient été testés séropositifs depuis 2004. Basée essentiellement dans la vallée de San Fernando, au nord de Los Angeles, l'industrie du porno californienne compte environ 200 sociétés de production employant quelque 1500 acteurs ou actrices. Son chiffre d'affaires, pour plus de 10.000 films par an, est estimé à 13 milliards de dollars.
http://www.leparisien.fr/societe/sida-l-industrie-us-du-porno-en-accusation-13-06-2009-547110.php

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Message  Invité 06/07/09, 12:27 pm

03/07/2009 La crise économique, "menace majeure" pour la lutte anti-Sida en Afrique
http://www.romandie.com
La crise économique mondiale constitue une "menace majeure" pour les programmes de lutte contre le Sida en Afrique, dont le tarissement financier menacerait de mort à très court terme des milliers de malades, a mis en garde jeudi un haut responsable de l'Onu. S'adressant à la presse en marge du sommet africain de Syrte (Libye), Michel Sidibe, directeur exécutif du programme des Nations unies contre le Sida (ONUSIDA), a rappelé que 96% des malades traités en Afrique dépendaient de l'aide des pays riches pour se soigner. Or, selon M. Sidibe, "la crise économique mondiale est une menace majeure qui risque de conduire à l'effondrement des mécanismes d'aide". Il a rappelé que le Fonds mondial de lutte contre le Sida enregistrait déjà quatre milliards de dollars de déficit alors que, grâce à lui, "2.500 malades sont mis sous traitement chaque jour en Afrique". "Si le Fonds n'est pas remis à flots, les malades commenceront à mourir dans les six mois", a-t-il prévenu. M. Sidibe a "espéré" que, durant le prochain sommet du G8 en Italie, les dirigeants des pays les plus riches de la planète "se souviendront de leurs promesses passées" et les mettront en application, "notamment pour parvenir à un accès universel" aux traitements. Le directeur de l'ONUSIDA a rappelé que six millions d'Africains atteints du Sida étaient en attente d'un traitement. Parmi les 500.000 personnes qui meurent chaque année dans le monde du coinfection de Sida et de tuberculose, "90% sont des Africains", a-t-il aussi souligné. M. Sidibe a tenu en revanche a saluer un "signe d'espoir" venu d'Afrique du sud, un pays qui enregistre à lui seul 1.500 nouveaux cas de Sida par jour, avec la promesse du nouveau président Jacob Zuma de faire de ce dossier une de ses priorités. Une intervention de M. Sidibe était à l'origine prévue devant les chefs d'Etats réunis à Syrte mais, a-t-il indiqué, elle a été annulée car le sommet avait "d'autres priorités" avec les discussions sur la création du gouvernement africain voulu par le leader libyen Mouammar Kadhafi. lire intégralité article :
http://www.romandie.com/infos/news2/090702104200.zzo6ouse.asp
02/07/2009 Campagne IST en France
http://www.quotimed.com
« Employer le terme MST, c’est induire la présence de symptômes pour recourir au dépistage. Utiliser l’acronyme IST, c’est inciter au dépistage en l’absence de symptôme ?» : conformément à la recommandation de l’OMS, le ministère de la Santé et l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES) ont décidé d’utiliser dorénavant le terme IST et ont lancé une campagne qui joue avec les trois lettres pour faire connaître ces infections et inciter à la prévention (préservatif) et au dépistage. Par exemple, avec un amusant dessin, « une IST, ce n’est pas l’Insecte Super Teigneux, c’est une Infection Sexuellement Transmissible ». La campagne est lancée dans la presse, par voie d’affiches, à la radio et sur Internet (www.info-ist.fr). Une brochure est éditée, téléchargeable sur le site de l’INPES (www.inpes.sante.fr). Une quarantaine d’artistes ont proposé des visuels pour la campagne?; certaines de leurs planches sont exposées dans le hall du ministère de la Santé jusqu’au 3 juillet.
http://www.quotimed.com/recherche/index.cfm?fuseaction=viewArticle&DArtIdx=427836
01/07/2009 Lancement des dépistages rapides du VIH à Paris
http://citegay.fr
Aides et l'ANRS lancent dans la capitale ce mercredi leur offre de dépistage communautaire du VIH à résultat rapide auprès des hommes ayant des relations sexuelles avec d'autres Hommes... Alors que le Conseil National du Sida a rendu en avril dernier un avis important faisant du traitement un moyen de prévention complémentaire au préservatif mais limité et complexe, le même CNS soulignait que cela ne pouvait se faire que par un dépistage accru des personnes concernées alors même que 30000 personnes en France ignoreraient leur séropositivité.Présenté en novembre dernier, le projet COM'TEST vise à expérimenter, avant sa généralisation éventuelle, l'usage de tests de dépistage rapide (TDR) du Sida qui permettront, en trente minutes après un simple prélèvement de sang au niveau du doigt, de connaître le statut sérologique des personnes ainsi dépistées. Contrairement aux tests salivaires, cet outil de dépistage, via un recueil d'une goute de sang à l'extrémité d'un doigt, a une fiabilité équivalente aux tests classiques. Il doit être effectué, pour être certain, après un délai de trois mois après une éventuelle exposition au VIH. L'originalité et la spécificité de l'expérimentation présentée réside davantage encore dans le lieu de dépistage et le personnel assurant ces actes : des bénévoles de Aides, spécialement formés, qui opéreront dans les locaux de l'association. Le site dédié de Aides : depistage.aides.org.
http://citegay.fr/actualites.htm
30/06/2009 Éradication des réservoirs : bloquer la méthylation pour éjecter le VIH
http://www.quotimed.com
UN DES TALONS d’Achille du VIH pourrait s’appeler méthylation de la cytosine. Cette étape de l’infection semble concourir à la dissimulation, la mise en latence, d’un certain nombre virus dans les lymphocytes T CD4+. Ces VIH cachés demeurent inaccessibles au traitement antirétroviral hyperactif et font remonter la virémie dès l’interruption thérapeutique. Faire sortir le virus de ses caches c’est le rendre accessible à une thérapeutique visant son éradication totale. Et une équipe américano-suédoise, Steven E. Kauder et coll., a découvert l’outil de la dissimulation. La première étape de la recherche a consisté en la mise au point d’un modèle in vitro de latence du VIH dans des cellules T : des lignées de cellules J-Lat. Ce modèle contient la totalité du génome viral. De plus le provirus y code pour un marqueur fluorescent de la transcription. Puis l’équipe a recherché un nouveau mécanisme de latence sur la totalité de l’ADN cellulaire. Il est apparu qu’un niveau élevé de méthylation de la cytosine de l’ADN viral constitue l’un des mécanismes clés de la latence. Ensuite, la recherche a permis d’identifier une fraction protéique de l’hôte, le répresseur transcriptionnel MDB2 (methyl-CpG binding domaine protein2) qui se lie à l’ADN méthylé. Cette liaison permet largement au VIH de se terrer. Les chercheurs se sont alors tournés vers une molécule, déjà utilisée dans les syndromes myélodysplasiques, susceptible de bloquer la méthylation de l’ADN : aza-CdR (5-aza-2’deoxycytidine). Comme cette hypométhylation a déjà été constatée chez les individus indemnes du VIH, il semblait possible d’espérer, en cas d’infection, une réactivation virale.
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http://www.quotimed.com/recherche/index.cfm?fuseaction=viewArticle&DArtIdx=427810

25/06/2009 Congrès de AIDES après 25 ans de lutte : principe de réalité plutôt que principe de précaution
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Le congrès annuel de AIDES, l’association de lutte contre le sida qui célèbre cette année son 25e anniversaire, a été l’occasion pour ses militants de définir de nouveaux axes stratégiques. Bruno Spire, le président réélu pour deux ans, a défendu une démarche pragmatique, fondée sur le principe de réalité et non le principe de précaution. La présence de la ministre de la Santé a été saluée comme « un signe fort d’encouragement » par Bruno Spire, réélu à la présidence de l’association et nouveau chevalier de la légion d’honneur - insignes remis par le Pr Jean-François Delfraissy, directeur de l’ANRS (Agence nationale de recherches sur le sida et les hépatites) lors du congrès. Au nom des militants, il a toutefois interpellé la ministre sur plusieurs points. À propos des projets expérimentaux de dépistage rapide menés par des militants associatifs, qui, selon la Roselyne Bachelot, ont ouvert « une nouvelle page dans l’histoire de la recherche biomédicale », le président de AIDES a souhaité un cadre plus élargi. « Nous n’allons pas arrêter les actions de dépistage communautaire en attendant un changement de réglementation », a-t-il expliqué. Dans un discours résolument offensif, il a fustigé les franchises médicales, qui « n’ont fait qu’aggraver l’accès aux soins des personnes précaires et malades », réclamant des mesures pour les malades bénéficiant de l’Allocation adulte handicapée, soit une poignée d’euros au-dessus du seuil donnant accès à la CMU et à l’exonération des franchises. En matière de politique de réduction des risques auprès des usagers de drogue, Bruno Spire a appelé à des programmes innovants d’éducation à l’injection pour lutter efficacement contre les hépatites. Il aussi revendiqué un rôle pour les associations dans l’éducation thérapeutique, rôle que AIDES joue depuis plusieurs années à travers ses week-ends thérapeutiques ou ses universités de personnes en traitement mais que semble ignorer la loi HPST. Enfin, il s’est félicité de la réflexion engagée sur les nouvelles approches de prévention par France Lert et Gilles Pialoux, même s’il juge le terme trop pudique, utilisé en lieu et place de celui de « politique de réduction des risques sexuels », expression « controversée dans l’hexagone » et pourtant bien reconnue ailleurs. « Ensemble, nous cherchons des solutions pour tous ceux d’entre nous qui n’arrivent pas à suivre les recommandations et les normes. Notre démarche est pragmatique, basée sur le principe de réalité et non le principe de précaution », a-t-il conclu.
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